Le feu de la sor’cière / James Clemens

Bon et bien comme le livre de ma pointure doit arriver par PIB, je vais donc attaquer le défi par une corvée, si si et cette année il y en a deux !

Je m’explique, je n’ai jamais réussi à m’intéresser à l’héroïc-fantasy, les  mages etc… mais bon, c’est une des demandes du défi et je vais donc retenter l’expérience…deux fois… On pourra pas dire que j’ai pas essayé 😉

Ben la première tentative rate son coup, ça s’arrange pas ! Et la traduction n’a rien voir avec ça, je tire même mon chapeau à Isabelle Troin, à sa place je me serais écroulée sur ma page !

Le feu de la sor’cière/James Clemens. – (Les bannis et les proscrits ; 1). – Milady. – ISBN 9782811200404

 

Auteur :

James Clemens, né à Chicago en 1961, a grandi dans le Midwest et la campagne canadienne, rêvant des grandes aventures qui l’attendaient de l’autre côté du champ de maïs et du ruisseau. Vétérinaire installé en Californie, il n’a cessé d’inventer des histoires depuis son enfance. Le Feu de la sor’cière fut le premier de ces best-sellers traduits en une douzaine de langues.

 

Résumé :

Il y a cinq cents ans, les ignobles Carnassires de Gul’Gotha ont envahi Alasea. Mais lors d’un ultime acte de rébellion, trois mages se sacrifièrent pour créer un grimoire magique qui sera la clé de la destruction du Gul’Gotha. Elena a la marque de la Sor’cière : sa main devient rouge sang le jour de ses premières règles. C’est plus qu’il n’en fallait au Seigneur noir pour la prendre en chasse, s’acharnant sur elle comme sur sa famille qui paiera un lourd tribut. Et tout cela à cause de ce don auquel elle-même ne tenait pas tant que ça. Ainsi, son monde est bouleversé, et elle doit fuir pour une longue quête mouvementée, épaulée par une troupe de personnages étonnants (un guerrier immortel manchot, un «métamorphe» coincé sous la forme d’un humain chétif, etc.). Aventures palpitantes teintées de noirceur, et portées par le combat intérieur que doit livrer Elena femme contre Elena Sorc’ière aux pouvoirs terrifiants.

 

Avis :

Je ne comprends pas le plaisir que certains auteurs de fantasy ont à compliquer les noms des personnages, de lieux ou de mettre des  » ‘  » partout pour faire genre ! Je m’étais dit « allez vas-y ça sera peut-être différent de ce que tu as déjà tenté de lire dans le genre auparavant  » mais non, je ne suis même pas arrivée au bout et je bénis le fait de ne pas l’avoir acheté mais emprunté à ma belle-sœur !

Impossible de me plonger dans l’histoire, style poussif, trop descriptif, impression de dés pipés dès le départ (j’ai l’impression que pour la jeune Elena ça va être mission impossible) tant les « méchants » semblent invincibles !

Je sais bien qu’elle n’a pas choisi son destin mais dans le genre nana plaintive, elle décroche une palme, je pense que c’est en partie ça qui me bloque, pas moyen de m’attacher à elle !

Parfois aussi l’impression que l’auteur goupille bien les éléments pour que ses héros arrivent à leur fin ou que les choses tournent à leur avantage, même momentanément !

Les seuls points positifs sont :

– les scènes d’action, qui permettent de mettre en scène des bestioles intéressantes 🙂 et qui relancent une peu l’intérêt

– le fait que l’auteur n’a pas fait de ses personnages des êtres tout blanc ou tout noir, chacun d’entre eux porte sa part d’ombre et ça c’est un plus à mon avis.

– raconter l’histoire du point de vue du conteur, extérieur aux évènements permet un certain détachement mais comme il est sous-entendu dès le départ que l’auteur est un menteur, on pourrait douter de la « véracité » de ceux-ci 😉 Les aventures des différents protagonistes se font en parallèle et on passe des uns aux autres sans trop de souci.

Malgré ça, j’ai décroché, allant le plus loin possible pour donner mon avis mais lu en diagonale pour voir la fin de cet épisode.

 

Le portrait du mal /Graham Masterton

Le portrait du mal /Graham Masterton. – Milady. – ISBN 9782811203016

Ahhh et bien il y a quelques mois, j’avais fait la chronique du Portrait de Dorian Gray, voici une variante du concept par le Maître Masterton !

Comment donner sa propre vision du portrait maléfique ? Ce genre de challenge n’a sans doute pas été facile pour lui mais je trouve qu’il s’en est plutôt pas mal sorti même si je l’avoue, ce livre n’est pas mon préféré ; je suis une inconditionnelle de sa saga Manitou.

Sa particularité vient que Graham Masterton ne parle pas de la déchéance d’un seul individu mais de toute une famille : les  Gray. 12 Personnes, originaires du Connecticut, peintes ensemble sur un tableau à la fin du 19e siècle par Walter Waldegrave.

Les hasards de la vie font que ce tableau échoue dans les mains de Vincent Pearson, propriétaire d’une galerie New-Yorkaise. Il lui vient d’un héritage et son arrière grand-père lui a fait jurer de ne jamais le détruire, jamais s’en séparer. Évidemment, il ne se doute pas que le tableau est « connecté » aux Gray et qu’il est aussi lié aux évènements macabres qui se déroulent autour de sa galerie. Et c’est cette confrontation entre lui et surtout Cordelia Gray, femme fatale s’il en est qui fait le charme du livre… Ça et son ambiance malsaine, la demeure labyrinthique, les faux-semblant, les quelques scènes gores dont Masterton a le secret, tout en gardant une petite touche d’humour qui est aussi une marque de fabrique de l’auteur.

Sa galerie Gray en fait des personnages froids, abjects, dénués de scrupules, allant au bout de leurs désirs et s’en donnant les moyens, usant par la même de pratiques barbares (pour les chevronnés de l’horreur pas de soucis mais les âmes sensibles doivent faire attention). Et s’ils ne se font pas prendre, c’est parce qu’ils choisissent bien leurs victimes, sans aucun rapport entre elles… Jusqu’à ce que ….

Bref, un honnête Masterton avec une ambiance bien noire.

Résumé :

Ils étaient prêts aux pires atrocités pour conserver l’éternelle jeunesse. Un portrait de douze personnages au visage en décomposition… La toile est l’oeuvre d’un certain Waldegrave, ami d’Oscar Wilde et passionné d’occultisme, mais elle est sans valeur et plutôt médiocre. Alors pourquoi la mystérieuse Cordelia Gray veut-elle à tout prix s’en emparer ? Quel est le secret du portrait ? Qui sont ces douze personnages ? Vincent Pearson, l’actuel propriétaire du tableau, découvre un lien entre cette oeuvre démoniaque et une série de meurtres particulièrement abominables qui secouent la Nouvelle-Angleterre depuis quelques mois.

L’auteur :

Graham Masterton est un auteur écossais, né le 16 janvier 1946 à Édimbourg. Il est essentiellement connu pour ses romans d’horreur. Après ses débuts dans le journalisme, il se tourne vers la  littérature fantastique et connaît le succès en 1975 avec son premier roman, Manitou, écrit en seulement une semaine et adapté au cinéma avec Tony Curtis dans le rôle principal. Graham Masterton vit aujourd’hui en Irlande, près de Cork, où il continue d’écrire les aventures de Jim Rook, un sympathique mais étrange professeur souvent témoin de phénomènes surnaturels chez ses élèves. Il a également écrit de nombreux manuels sur la sexualité (Comment être un amant parfait ?) :  il était originellement éditeur du magazine pour adulte MayFair et de l’édition britannique de Penthouse.

Relic de Preston et Child

Relic/Douglas Preston et Lincoln Child. – J’ai lu. – ISBN 9782290014257

Ça c’est la cover que je possède et pas la cover du poche actuel

Ahh ben puisque dans les livres de la section imaginaire on peut évoquer des monstres, en voici un bien saignant, bien juteux : le Mbwun

Alors pour vous donner une petite idée du visuel de la bête, voici un superbe dessin trouvé lors de mes recherches d’illustrations

Sympa hein ! Je trouve aussi et attachant avec ça l’animal ! Il nous aime tellement, nous les humains qu’il ne résiste pas à l’envie de nous décapiter pour dévorer les parties du cerveau qui produisent les hormones ! Faut ce qui faut…

Pourquoi en parler et bien parce que j’adore Preston et Child et surtout leur personnage Pendergast, agent du FBI de son état, limite albinos, toujours bien fringué, avec on le découvre assez vite une intelligence au-dessus de la moyenne et des moyens financiers à l’avenant !

Le film qui en a été tiré était pas si mal mais hélas zappait complètement le personnage (trop difficile pour les spectateurs de s’y attacher, de s’identifier à lui, sais pas…)

L’écriture à quatre mains peut être problématique mais là, on sent la complicité des deux auteurs, c’est vraiment agréable à lire et leurs histoires sont bien construites, toutes sont des polars ou des thrillers fantastiques (surtout au début de la série)

Ce que j’aime dans ce tome, c’est le mélange légende ancienne, avancées scientifiques avec l’extrapolateur et l’utilisation de l’ADN, un excellent suspens, un monstre des plus intéressant, et puis surtout une galerie de personnages des plus divers (scientifiques, flics, journaliste, attachant ou pas…)

Comme je l’ai dit, l’écriture à quatre mains est soignée, même si on reçoit beaucoup d’informations, celles-ci ne se perdent pas dans les méandres du récit et s’imbriquent parfaitement les unes aux autres.

L’autre personnage important du livre est le musée, les auteurs ont pris quelques libertés avec le Musée d’histoire naturelle de NY en lui ajoutant un dédale de couloirs, le transformant en véritable labyrinthe avec ses « catacombes » mais quand on sait que NY est bâti sur une succession de couches de tunnels divers, ça reste très crédible !

Résumé :

Une équipe d’archéologues massacrée en pleine jungle amazonienne… Les caisses contenant leurs découvertes acheminées au Muséum d’histoire naturelle de New York… et oubliées dans un sous-sol.

Meurtres au Muséum d’histoire naturelle de New York

Quelques années plus tard, le musée annonce une exposition consacrée aux superstitions et croyances mystérieuses des peuples primitifs. Mais les préparatifs sont troublés par une série de crimes aussi sanglants qu’inexplicables.

Le criminel : un homme ou une entité inconnue ?

Une menace terrifiante hante les couloirs et les salles du Muséum, un meurtrier d’une force et d’une férocité inouïes. On parle même d’un monstre. De quoi éveiller la curiosité d’Aloysius Pendergast, du FBI, expert en crimes rituels…

Auteurs :

Douglas Preston :
Né dans le Massachusetts en 1956, diplômé de littérature anglaise, il a démarré sa carrière en tant qu’auteur et éditeur pour le Muséum d’Histoire Naturelle de New York. Il a également enseigné à l’Université de Princeton.
Durant ces huit années passées au Muséum, il a écrit son premier livre de non-fiction. A la même époque , il fait la connaissance de Lincoln Child, rencontre déterminante pour sa carrière d’écrivain.

Lincoln Child :
Il est né en 1957 dans le Connecticut.
Diplôméde littérature anglaise, Lincoln Child a été responsable éditorial aux éditions St Martin’s Press à New York avant de se consacré entièrement à l’écriture.

Malpertuis / Jean Ray

Bien, parlons un peu d’un auteur belge auteur d’une pièce maîtresse dans le fantastique : Monsieur Jean Ray !

Malpertuis / Jean Ray . – Labor. – (Espace nord). – ISBN 2804009025

Auteur :

Raymond Jean Marie De Kremer est un écrivain belge bilingue, né le 8 juillet 1887 et mort le 17 septembre 1964 à Gand. Il écrit en français sous le pseudonyme Jean Ray et en néerlandais sous le pseudonyme John Flanders. Il s’est essentiellement consacré à la littérature fantastique.

Malpertuis est son seul roman et a surtout produit des nouvelles comme son premier recueil Les contes du whisky et ensuite La croisière des ombres.

Il est aussi connu pour son implication dans la série des Harry Dickson, il n’en est pas le créateur mais il trouve les textes d’origine si médiocres qu’il obtient l’accord de son éditeur pour réécrire les histoires en respectant  les titres et les dessins de couverture des recueils originaux. Sur les 178 fascicules parus, 103 sont de sa plume !

Jusqu’à sa mort, il écrira des nouvelles : Les Cercles de l’épouvante (1943), Le Grand Nocturne (1942), Les Derniers Contes de Canterbury (1963) et La cité de l’indicible peur. La peur ! C’est le moteur central des œuvres de Jean Ray.

Malpertuis a été adapté au cinéma en 1971 par Harry Kümel avec Orson Welles

Résumé :

Malpertuis, maison maudite racontée par 5 personnes différentes, 5 visions dérangeantes de cette batisse et de ce qui s’y passe…

L’oncle Cassave va mourir. C’est un être abject que tout ses proches détestent mais il a la fortune ! Toute sa famille est à son chevet dans la demeure de Malpertuis et il leur dicte ses dernières volontés : que tous s’installent à Malpertuis et que revienne, aux deux derniers survivants, sa fortune. Aucune des personnes présentes ne se doute du drame qui se joue. En douceur d’abord avec les lumières qui s’éteignent et puis l’horreur faite maison.

Avis :

Le style de Jean Ray est très soigné, je pense que le dico sera nécessaire à certains car il use (et abuse) d’un vocabulaire parfois élaboré.  Ambiance très baroque, oppressante, lourde, on se perd dans cette maison jusqu’à la révélation finale. On suit le jeune héros en se demandant s’il ne devient pas fou, on ne parvient pas à comprendre les phénomènes produits par la maison … C’est un récit très étrange, j’ai eu du mal à le lire la première fois quand j’étais adolescente, ce n’est que récemment que je m’y suis replongée et que j’y ai pris plaisir.

On aime ou on déteste, pas de demi-mesure avec Malpertuis.

Le portrait de Dorian Gray / Oscar Wilde

Le portrait de Dorian Gray / Oscar Wilde. – Poche. – 285 p. – ISBN 9782253002888

Auteur :

Oscar Wilde, de son nom complet Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde, est un écrivain irlandais, né à Dublin en Irlande le 16 octobre 1854 au 21 Westland Row (en), et mort à Paris le 30 novembre 1900 à l’âge de 46 ans.

En 1878, il reçoit le Newdigate Prize pour son poème sur Ravenne. Il en profite pour créer le mouvement de l’Art pour l’art.

Wilde s’installe à Londres en 1879 :  séduisant, raffiné et subtil, il est fêté dans toute l’Angleterre. Il développe rapidement sa théorie de l’esthétisme et donne des conférences sur ce thème aux États-Unis. Il devient rédacteur en chef de The Womans’ World. Il s’installe quelque temps à Paris.

C’est en 1890 que paraît le Portrait de Dorian Gray qui marque le début d’une célébrité littéraire.

En 1891, il rencontre Lord Alfred Douglas de Queensberry, s’en éprend et tous deux mènent une vie débridée en affichant en public leur homosexualité. De cette aventure découle le procès Queensberry. En prison, Wilde n’écrira que sa correspondance et ne pourra, à sa sortie, qu’écrire une seule œuvre, tant cette expérience l’a marqué Ballade de la geôle de Reading.

Ruiné, car ses biens ont été confisqués pour payer le procès, il s’exile en France et c’est le début de la fin, il meurt d’une méningite, âgé de 46 ans !

Heureusement, il nous reste ses poésies, ses pièces de théâtre et ses quelques romans et surtout, ses bons mots.

Résumé :

« Comme c’est triste! Je vais devenir vieux, horrible, effrayant. Mais ce tableau n’aura jamais un jour de plus qu’en cette journée de juin… Si seulement ce pouvait être le contraire! Si c’était moi qui restais jeune, et que le portrait lui vieillit! Pour obtenir cela, pour l’obtenir, je donnerais tout ce que j’ai! Oui, il n’y a rien au monde que je refuserais de donner! Je donnerais mon âme pour l’obtenir!  »

En un paragraphe, tout est dit, voici le point de départ du livre d’un auteur controversé.

Dorian Gray se voit offrir par un ami, Basil Hallward, un portrait de lui-même où il est représenté dans sa pleine jeunesse et beauté. Le temps passant, c’est ce portrait qui portera les marques de l’âge, du temps et des vicissitudes de la vie.

A partir de la première marque visible sur le tableau, une marque de cruauté, causée par sa rupture avec sa fiancée Sybil Vane jusqu’à la fin, Dorian ne veut plus montrer le portrait et le « cadeau empoisonné » que lui fait Lord Henry Wotton va aggraver les choses.

Ce portrait, qui est le reflet de l’âme de Dorian, va empoisonner sa vie, provoquer des rumeurs sur son compte, au fur et à mesure qu’il multiplie les « expériences » et va même provoquer la mort de son concepteur, Basil, effaré par ce qu’il découvre.

Un long plongeon vers la noirceur jusqu’à l’ultime crime…

Avis :

Le portrait de Dorian Gray est avant tout le récit d’une lutte d’influence, celle de Lord Henry sur Dorian. Le roman est une ode à l’individualisme, l’égoïsme et l’hédonisme pur et dur.

« Seul le plaisir mérite qu’on lui consacre une théorie… »

Sans aller aussi loin que son personnage, Wilde est aussi un hédoniste perdu dans une civilisation austère et puritaine et il en paiera le prix lui-aussi. Le refus de l’engagement est un autre thème du roman, aussi bien en amour qu’en amitié : « Les hommes se marient par fatigue, les femmes par curiosité : tous sont déçus » telle est l’adage de Lord Henry.

Le vrai « pervers » de l’histoire c’est Lord Henry, car Dorian n’est pour lui qu’un objet d’étude : « Influencer quelqu’un, c’est lui donner son âme »

C’est un ouvrage étrange, envoûtant, dérangeant, on ne sort pas complètement « vierge » de la lecture du portrait, mais la morale que Wilde a voulu apporter dans son livre est celle-ci  :

« Et la morale, la voici : tout excès aussi bien que toute renonciation amène son propre châtiment. Le peintre, Basil Hallward’ idolâtrant la beauté physique jusqu’à l’excès, ainsi que le font la plupart des peintres, meurt de la main d’une personne en l’âme de laquelle il a fait naître une monstrueuse et absurde vanité »

Morale que je trouve un peu simpliste et fausse dans le sens ou pour moi le seul responsable de tout ce gâchis et qui en plus est le seul à s’en sortir est le cynique Lord Henry.

Ce roman est un roman purement psychologique saupoudré de magie. Une œuvre semée d’études de caractères, une lente plongée en ce que l’individu peut avoir de plus noir …

Au cinéma :

Le cinéma fantastique n’a pas manqué d’adapter ce chef-d’œuvre de Wilde.

Dernière adaptation en date celle d’Oliver Parker en 2009 avec Colin Firth jouant Lord Henry et Ben Barnes Dorian.

 

Quant à moi, c’est parmi les nombreuses versions, celle de 1945 que je connaissais le mieux, avec notamment Angela Lansbury (non, non elle n’est pas que Jessica Fletcher 😉 )